Biorésonance radiesthésie
Méthode d’A.J

QU’EST CE QUE LA RADIO-BIOPHYSIQUE ?
Ces informations ne correspondent qu’à mes connaissances et compréhensions personnelles du moment ; elles ne relèvent pas de valeurs exhaustives. Elles sont donc susceptibles d’être modulées.
1) INFORMATION
La biorésonance basée sur la physique quantique est déjà la médecine de demain.
Comme un musicien développe ses performances instrumentales par l’exercice quotidien et la lecture de partitions, le biophysicien développe des ressentis extra-sensoriels RES.
Cette aptitude lui permet de mettre en œuvre des principes d’application mis en œuvre avec les appareils de biorésonance ( Biospect, Kindling, etc …). Elle nécessite des connaissances poussées du fonctionnement d’un organisme vivant (alchimie, anatomie, physiologie).
2) Comment ça marche ?
Les neurosciences nous apprennent que le cerveau est sur le plan atomique un émetteur-récepteur d’informations et d’énergie. C’est une machine électromagnétique.
Chacune de nos 60.000 milliards de cellules est placée sous son contrôle par des milliards d’ondes de particules réceptionnées et émises à chaque seconde.
Nos 60.000 milliards de cellules communiquent aussi entre elles par l’eau qui se structure en domaines de cohérences d’informations pour créer et harmoniser la résonance de notre corps qui donne la vie. (Jacques Colin).
Notre organisme est constitué à 99,1% d’eau (H₂0)
La physique quantique a démontré que les informations vitales sont portées par des particules de conscience. La dualité de ces particules objet-onde leur confère une forme d’onde ou de spectre d’ondes. Une onde n’est pas délimitée par l’espace-temps ; une onde est partout. Nous sommes des ondes personnalisées uniques dont la globalité universelle forme une conscience commune.
3) Les bases scientifiques
Tout est onde : une cellule vivante est formée de molécules, une molécule d’atomes, un atome de charges électro-magnétiques immatérielles appelées proton, neutron et électron en mouvement perpétuel : ce sont des objets quantiques. Notre organisme est fait d’ondes, exclusivement d’ondes.
Les ondes obéissent aux lois de la physique vibratoire, à savoir aux notions d’interférence, de résonance, d’harmonique, de fréquence, d’amplitude, de phase. Leur existence ne relève pas d’une localisation. Par conséquent, la modulation des informations qu’elles échangent est instantanée.
4) La vie
La vie a besoin d’eau, d’ions et d’acides aminés ; le métabolisme cellulaire consiste en une suite de réactions chimiques entre ces éléments de structures et de fonctions, sous contrôle d’ondes cérébrales.
Pour influencer la vie, il est nécessaire de déclencher des actions, des mobilités, des circulations ; toute action nécessite une énergie ; et toute libération d’énergie nécessite une information.

5) Énergie
Sans énergie, pas d’action, certes ! Mais aussi, une énergie sans action, (un barrage d’eau par exemple) c’est une accumulation d’énergie : c’est un blocage qui va provoquer la maladie, parce qu’elle altère l’action, le flux, la mobilité. La maladie se manifeste par des symptômes.
Pour que l’énergie provoque une action, il faut une « information adressée » pour la signifier, la libérer.
L’état de « pas d’énergie » équivaut à pas d’accumulation d’énergie. On peut avoir une information, sans énergie, c’est l’état de bonne santé : l’énergie circule. Toutes les informations sont alors synchrones, c’est à dire en phase.
Pour être en bonne santé, l’énergie ne doit pas provoquer de tension ni d’accumulation.
Donner de l’énergie, ou corriger les énergies n’a pas beaucoup de sens. Non ! Par un traitement à distance on ne peut transmettre que de l’information. Nous sommes avant tout des dévoreurs d’informations. Un organisme en bonne santé est informé par des ondes en cohérence de phase. L’inverse produit par des incohérences de phase c’est la maladie.
6) La phase
La phase est la correspondance d’une onde par rapport à une référence.
Deux ondes de même fréquence peuvent être en oscillation synchrone ou asynchrone jusqu’à être en opposition de phase.
Pour garder la vie en bonne santé, la nature fait tout pour maintenir les ondes vitales en cohérence de phase (comme des soldats marchant parfaitement au pas) grâce aux échanges correspondants à la notion des champs énergétiques : c’est le principe d’homéostasie ; si elle n’y parvient plus, la maladie devient chronique.
Dans ce cas, pour retrouver une cohérence de phase, les ondes ont besoin d’aide par des ondes de correction de différentiel de phase.
En physique, un déphasage ou une perte d’amplitude peut être visualisé par un angle.
7) La correction d’onde
Une onde peut être sommée de plusieurs ondes. L’onde sommée est appelée onde résultante.
En additionnant une onde correctrice à une onde altérée, on peut obtenir la correction de phase et d’amplitude. C’est un processus d’aide à l’homéostasie (auto-correction ou immunologie).
Une dilution homéopathique est une opération consistant à éliminer progressivement la matière pour ne garder que l’information portée par sa fréquence ; une dilution homéopathique émet un spectre d’ondes : cette onde peut être correctrice sur un ou plusieurs spectres vitaux, correspondant à un ou plusieurs systèmes vitaux, organes, tissus organiques, selon la nature des terrains héréditaires qui les sensibilise. Ces terrains sont déterminés par les domaines de cohérence de l’eau mémoire qui constitue le corps humain à 99,1%. (Voir travaux du Pr Marc HENRY de l’UNISTRA)

8) Le traitement à distance
Traiter à distance est donc une expression inadaptée. Chacun est partout. Il n’existe pas de distance entre des ondes.
L’information, elle, circule alors à la vitesse de la phase. Elle se transmet instantanément, sans énergie. C’est une des caractéristiques métaphysiques de l’univers. (comme les étourneaux changent tous instantanément de direction en vol)
9) L’aide biophysique consiste à
– tester des valeurs biophysiques et biologiques de nature ondulatoire ; à partir des valorisations :
– adresser des informations sous forme de directives à une personne à partir desquelles son cerveau récepteur bien informé émettra les ondes correctrices, à savoir
° des ondes d’inhibition d’agents infectieux et de traces nocives laissées par des chocs énergétiques
°° des ondes de corrections de différentiel de phase et d’amplitude
°°° des ajustements de tensions ligamentaires et musculaires visant à retrouver des mobilités
°°°° des spectres d’ondes homéopathiques visant à désensibiliser les 4 terrains, à stabiliser la constitution du malade, à équilibrer les concentrations ioniques et à soutenir les fonctions métaboliques. (voir tableau des troubles symptomatiques de la MMH Matière médicale homéopathique)
10) Des tests aux informations correctrices
Les tests se pratiquent à l’aide de bases de données sous forme de cadrans angulaires ou de schémas servant d’interfaces visuelles entre le conscient et le subconscient du géobiophysicien.
La communication des réponses aux demandes formulées mentalement se manifeste par des oscillations vibratoires du bras du géobiophysicien, qu’il amplifie à l’aide d’un pendule ou oscillateur placé au centre des cadrans, comme une aiguille de montre qui indique l’heure, les minutes et les secondes.
A partir des tests, une demande consciente au cerveau subconscient permet d’émettre les directives correctrices. Cette correction est appelée radio-biorésonance. Les informations sont portées par des ondes scalaires.
11) Aide thérapeutique
Seul le propre cerveau d’un malade récepteur de directives est habilité à le guérir en cas de pathologie. Le biophysicien ne soigne pas, ne guérit pas, il donne des directives.
La réception de la personne souffrante s’active par intrication validée par une demande d’aide.
Une correction, un ajustement peut être instantané, mais il est admis qu’il faut 3 semaines à un organisme pour intégrer totalement une information spectrale obtenue par injection ou par radio-biorésonance.
La personne aidée n’aura pas de médicaments à prendre. Les substances homéopathiques en granules ou en gouttes, elles aussi, ne contiennent que des spectres informationnels.
Certaines formes de pathologies avancées présentant des altérations organiques de structure ne peuvent pas être améliorées par la biorésonance, ou très peu. C’est le cas de nombreuses neuro-pathologies. Les dysfonctionnements neurologiques sans altération de structure peuvent être améliorées.
Après le test biophysique des infections que présente un malade, le biophysicien peut l’informer par des ondes en opposition de phase aux ondes vitales des agents infectieux. C’est par cette méthode qu’on peut inhiber les bactéries, dont les borrélies de Lyme.

Elle rêvait de devenir invisible : tout voir, tout entendre, tout apprendre, sans que rien de palpable ne signalât sa présence. Elle ne serait plus qu’une onde, un souffle, un parfum peut-être, rien qu’on pût toucher ou attraper.
Delphine de Vigan